consignes aux auteurs
L’article à soumettre à la revue doit être inédit et n’avoir pas été publié nulle part ailleurs (ni en ligne ni sur papier). Tout texte proposé doit donc être inédit et impérativement transmis ou envoyé au secrétariat et/ou au rédacteur en chef de la revue. Il sera soumis au comité de lecture pour avis. Le texte ne doit pas comporter des emprunts de quelque nature que ce soit qui seraient susceptibles d’engager la responsabilité du département.
Les thématiques sont variées et essentiellement constituées d’articles. Peuvent être publiés les articles :
- qui ont fait préalablement objet d’une pré-expertise par le comité de rédaction. Cela suppose que l’article répond à l’appel à contribution ;
- Dont la rigueur scientifique est suffisante (maitrise et pertinence du thème, de la problématique, la méthodologie, la qualité de la langue et le respect des normes de rédaction) ;
- Dont l’exactitude des informations, l’originalité du contenu et la vérification de l’absence du plagiat ont été évaluées ;
- qui reçoivent au moins trois (3) avis favorables. Toutefois, en cas de divergences d’avis, le comité de lecture sollicite d’autres avis.
- Les articles sont transmis à des instructeurs sous le sceau de l’anonymat. Lorsqu’un article est refusé, la direction de la revue en informe l’auteur et lui transmet le manuscrit dans les deux mois qui suivent ainsi que les rapports d’évaluation. Pour un article accepté sous réserve de certaines corrections, l’auteur doit tenir compte des remarques des instructeurs et doit impérativement le modifier dans le délai prescrit. La seconde mouture est vérifiée par un membre du comité de lecture. Une fois validée, la version finale de l’article est transmise à son auteur pour approbation.
Afin de traiter de la meilleure façon les articles envoyés à notre revue, quelques règles sont à suivre par les auteurs dans la présentation et les formats des fichiers. Ces préconisations (recommandations) permettent de gagner du temps sur la mise en forme et la correction des textes.
Règles de base de présentation
Les textes à soumettre doivent être fournis sous Word, au format doc ou rtf, en pièce jointe à un courriel. La dimension maximale du fichier : entre 30 000 et 60 000 signes
(espaces résumés, corps du texte et bibliographie compris). L’auteur doit proposer un résumé de l’article en français et en anglais (respectivement 600 signes maximum) et cinq « mots-clés ». Il doit mentionner son nom et prénom, son titre académique ou professionnel.
Typographie
Pour le corps du texte, la série de caractère à adopter est la police « Arial Narrow », style « Normal », taille 12.
L’italique est réservé aux mots, locutions et citations empruntés aux langues anciennes ou autres que le français (ex. : ad valorem, a priori, de facto, brain storming, Kru boy, Sikefwe ) et aux titres d’ouvrages (ex. : Jean Noel Loucou publie La Côte d’Ivoire coloniale 1893-1960.
Les citations courtes sont intégrées au texte et placées entre guillemets (choisir les guillemets « à la française »). Les citations longues (plus de trois lignes) sont à indiquer dans le corps du texte par un retrait avec tabulation 1,25 et le texte mis en taille 11, entre guillemets. Toute suppression ou coupure dans une citation doit être signalée par des crochets. Toute citation doit faire l’objet d’une note en précisant la source. Les majuscules sont accentuées.
Références et citations
Les références et citations sont intégrées au texte citant, selon les cas, des façons suivantes : (Initiale (s) du Prénom ou des Prénoms de l’auteur, année de publication, pages citées) ; Exemples :
-Faisant une mise au point sur des questions de méthodes S.P. Ekanza (2015, p. 7), note que « l’histoire est une pratique professionnelle ».
-Malgré sa brièveté, la colonisation est caractérisée par des changements importants, souvent brutaux qui affectèrent les populations africaines, leurs structures et leurs institutions politiques, économiques, sociales et culturelles. Ces changements ont des conséquences qui pèsent encore aussi bien sur les anciens pays colonisateurs que sur les ex- pays colonisés. C’est pourquoi l’histoire de la colonisation oscille entre deux tendances : l’apologie du système colonial et sa condamnation (J.N Loucou, 2012, p.5).
Les envois dans le texte se présentent en notes en bas de page en numérotation continue.
Les sources historiques, les références d’informations orales et les notes explicatives sont numérotées en série continue et présentées en bas de page.
Les illustrations
Les illustrations (cartes, photos, schémas, tableaux, graphiques) doivent être présentées en numérotation continue) en chiffres arabes selon l’ordre de leur apparition dans le texte. Ils doivent comporter un titre concis, placé au-dessus de l’élément d’illustration (centré). La source est indiquée (centrée) au-dessous de l’élément (taille 10). Il est important que ces éléments d’illustration soient d’abord annoncés, ensuite insérés, et enfin commentés dans le corps du texte.
Références bibliographiques
Les divers éléments d’une référence bibliographique sont présentés comme suit :
NOM et Prénom (s) de l’auteur, Année de publication, titre, lieu de publication, éditeur, les pages (p.) des articles pour une revue.
Dans la zone titre, le titre d’un article est présenté en romain et entre guillemets, celui d’un ouvrage, d’un mémoire ou d’une thèse, d’un rapport, d’une revue ou d’un journal est présenté en italique. Dans la zone éditeur, on indique la Maison d’édition (pour un ouvrage), le Nom et le numéro/volume de la revue (pour un article). Au cas où un ouvrage est une traduction et/ou une réédition, il faut préciser après le titre le nom du traducteur et/ou l’édition (ex : 2nde éd.).
Les références bibliographiques sont présentées par ordre alphabétique des noms d’auteur. Par exemple : AMEGBO Joseph ; LIGIER Françoise, 1976, Ossei TUTU, fondateur de la Confédération ashanti, XVIIe siècle, Abidjan ; Dakar, NEA, Paris, ABC, 112 p.
CANGAH Guy ; EKANZA Simon- pierre, 1978, La Côte d’Ivoire par les textes. De l’aube de la colonisation à nos jours, Abidjan ; Dakar, NEA.
MIAKA Oureto, 1982, « Quelques réflexions sur l’usage de la monnaie en Afrique noire à la place du troc traditionnel », Annales de l’Université d’Abidjan, série K (sciences économiques), tome V, p. 59-68.
SURET-CANALE Jean, 1977, Afrique Noire Occidentale et Centrale, L’ère coloniale (1900-1945), Paris, Éditions Sociales, 636 p.
ZINSOU-DERLIN Lionel, 1976, « La banque de l’Afrique occidentale dans la crise », Revue française d’histoire d’outre-mer, tome 63, no 232-233, « L’Afrique et la crise de 1930 (19241938), p.506-518.
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